R.A.H.M.A. Association

FOIRE AUX QUESTIONS |

Rapatriement de corps

1. Que faire en premier lorsqu’un proche décède à l’étranger ?

Contactez immédiatement R.A.H.M.A Association. Nous vous guiderons dans les démarches à effectuer et prendrons en charge les premières formalités.

Selon le pays et les formalités consulaires, entre 2 et 7 jours en général. Nous faisons tout pour que le corps rentre dans les plus brefs délais.

Pièce d’identité du défunt, certificat de décès, passeport ou carte consulaire, et autorisation de transport de corps.

Oui. Nous travaillons avec des partenaires dans le monde entier pour faciliter le retour vers le pays d’origine.

Oui, entièrement. Nous gérons la communication avec les autorités et les ambassades.

Oui, et nous la demandons pour vous. C’est une procédure obligatoire et rapide.

 

Oui. Ils dépendent des compagnies aériennes et des formalités locales, mais nous proposons toujours une solution adaptée aux moyens de la famille.

Oui, c’est l’une de nos missions solidaires. Nous pouvons intervenir grâce aux dons et à la zakat.

 

Oui, des soins de conservation sont effectués avec respect pour le corps, selon les règles de la loi et de la religion.

 

Oui, si les autorités locales le permettent. Nous vous informons du moment du transfert.

 

La plupart du temps oui, mais dans certains cas, un transport terrestre est possible pour les pays frontaliers.

 

Oui. Nous sommes disponibles à toute heure, car la mort ne prévient pas.

 

Nous assurons un suivi complet du voyage jusqu’à la réception par la famille locale ou la mosquée.

 

Oui. Par humanité, nous aidons toutes les familles, tout en respectant les rites de chaque religion.

 

Non, mais les adhérents bénéficient d’un accompagnement prioritaire et de conditions solidaires.

 

Oui, pour les funérailles, le Ghusl, la prière mortuaire et les démarches.

 

C’est rare, mais nous cherchons des solutions locales : inhumation dans un carré musulman, ou médiation avec le consulat.

C’est possible sous certaines conditions légales. Nous vous accompagnons dans les démarches d’exhumation et de transfert.

 

famille islam

Oui, toujours. Le Ghusl et le linceul sont effectués avant la mise en cercueil.

C’est la préparation du corps dans un cercueil hermétique, obligatoire pour le transport aérien.

 

Oui, il reste enveloppé dans son linceul à l’intérieur du cercueil.

 

Oui, à destination, il peut être ouvert par les autorités religieuses locales avant l’enterrement.

 

Oui, nous coordonnons avec les mosquées partenaires pour la Janaza avant le départ.

 

Nous organisons les funérailles sur place, dans un carré musulman, avec la même dignité.

 

R.A.H.M.A agit toujours dans le respect total des règles légales et des prescriptions islamiques.

Lavage mortuaire – Ghusl et rites funéraires

26. Qu’est-ce que le Ghusl al-Mayyit ?

C’est le lavage rituel du défunt, un acte sacré qui symbolise la purification avant le retour à Allah ﷻ.

 

Des bénévoles formés, pieux et discrets, du même sexe que le défunt.

Dans nos locaux agréés, ou dans une salle dédiée mise à disposition par la mosquée.

 

Oui, si la famille le souhaite, dans la pudeur et la sérénité. Dans la limite de 3 membres dans la salle où se déroule le Ghusl.

 

C’est une obligation religieuse (fard kifaya) et un acte de miséricorde envers le défunt.

 

Traditionnellement trois fois, ou plus si nécessaire, en terminant par un nombre impair.

 

Oui, des produits naturels et de l’eau pure, en respectant la Sunna.

 

Dans un linceul blanc (kafan), simple et pur, sans luxe ni bijou.

 

Non. Chaque défunt est lavé par des personnes du même sexe.

 

Un lavage doux et symbolique est pratiqué, selon la Sunna, avec beaucoup de tendresse.

 

Le Ghusl mortuaire purifie totalement, quel que soit l’état précédent du défunt.

 

Oui, avec du camphre ou du parfum naturel non alcoolisé.

 

Nous procédons avec douceur et respect, en dissimulant les blessures.

 

Oui, c’est une recommandation religieuse que nous appliquons toujours.

 

La famille, en coordination avec nos équipes et les autorités locales.

 

Oui, dans certains cas, si les conditions d’hygiène le permettent.

 

Nous intervenons en médiation pour trouver une solution respectueuse du rite.

 

Non, c’est un moment sacré et intime. Nous le déconseillons fermement.

 

C’est la couleur de la pureté et de la modestie, recommandée par le Prophète ﷺ.

 

Chez R.A.H.M.A, il est souvent inclus dans le service de funérailles ou offert par solidarité.

 

Oui, des invocations douces sont récitées discrètement par l’équipe.

 

Généralement 2 à 4 personnes selon les besoins.

 

Oui, si la famille le souhaite, nous travaillons en partenariat avec d’autres lieux.

 

C’est le linceul du défunt, une étoffe blanche utilisée pour l’envelopper après le lavage.

 

Parce que le corps est un dépôt sacré, qui mérite le même respect qu’une personne vivante.

Accompagnement, médiation et démarches

51. Qui s’occupe des démarches administratives ?

R.A.H.M.A s’en charge entièrement, en lien avec les mairies, hôpitaux et consulats.

 

Oui. Nous agissons au nom de la famille, avec transparence.

 

Le certificat de décès, la déclaration à la mairie, et une autorisation d’inhumer.

 

Oui, nous nous occupons de tout.

 

Avec écoute et neutralité. Nos médiateurs aident à rétablir le dialogue.

 

Nous proposons une médiation pour trouver une solution apaisée.

 

Oui, grâce à nos bénévoles formés et à des imams partenaires.

 

Oui, nous intervenons à distance pour aider les familles où qu’elles soient.

 

Nous accompagnons principalement les familles musulmanes, mais aidons tout être humain en détresse.

 

Oui, nous sommes souvent contactés directement par les établissements médicaux.

 

Oui, bien sûr. Elles jouent un rôle essentiel d’écoute et de compassion.

 

Nous respectons une stricte discrétion : aucune information n’est partagée sans accord.

 

Oui, de nombreuses mosquées en France et à l’étranger collaborent avec R.A.H.M.A.

 

Grâce aux adhésions, aux dons, à la zakat et au soutien des familles.

 

Oui, toute personne sincère et bienveillante est la bienvenue.

 

Oui, des ateliers sont organisés régulièrement.

 

Oui, via une adhésion ou une assurance anticipée.

 

Oui, sans distinction. La mort ne fait pas de différence.

 

Oui, nous accompagnons les familles pendant et après les funérailles.

 

Oui, partout en France et dans les DOM-TOM.

 

Oui, nos lignes d’urgence sont ouvertes 24h/24.

 

Oui, avec nos relais locaux et nos partenaires.

 

En ligne ou directement dans nos locaux.

 

Oui, pour les personnes isolées ou sans famille.

 

Il vient de “Rahma”, qui signifie “miséricorde” en arabe.

La mort en Islam – Spiritualité et foi

76. Que dit l’Islam sur la mort ?

La mort est un passage vers l’au-delà, une rencontre avec Allah ﷻ.

 

Parce que le Prophète ﷺ a recommandé de hâter l’inhumation par respect pour le défunt.

 

Oui, c’est un acte méritoire qui apaise son âme.

 

Elle entre dans la vie du Barzakh, en attente du Jour du Jugement.

 

Non, pleurer est humain. Ce qui est interdit, c’est l’excès ou la lamentation.

 

Parce que tout vient d’Allah et tout retourne à Lui.

 

Oui, c’est une tradition recommandée et bénéfique.

 

Oui, c’est une sadaqa jariya, une aumône continue qui lui profite.

 

Oui, c’est une Sunna qui rappelle l’au-delà et encourage la piété.

 

“La paix soit sur vous, habitants de ces demeures… Vous nous avez précédés et nous vous rejoindrons.”

 

Oui, le rapatriement n’a pas de restriction liée au mois.

 

Non. Ce n’est pas une obligation religieuse, mais un choix familial honorable.

 

Oui, selon les paroles du Prophète ﷺ, ils sont accueillis dans la miséricorde d’Allah.

 

On peut demander à Allah de guider ou d’apaiser les vivants, mais pas d’invoquer pour le pardon d’un non-musulman décédé.

 

Oui, pour inviter à la prière funéraire et au soutien de la communauté.

 

Oui, c’est permis si le corps est ailleurs.

 

Oui, par respect humain, sans participer aux rites religieux.

 

 

Oui, c’est permis avec pudeur et recueillement.

Selon plusieurs hadiths, le défunt entend les salutations qu’on lui adresse.

 

Parce qu’elle nous rappelle notre retour à Allah et nous pousse à faire le bien.

 

Oui, c’est une belle manière d’honorer sa mémoire.

 

Oui, c’est une pratique répandue et apaisante.

 

Parce que les bonnes actions continuent de bénéficier au défunt.

 

Oui, tant que cela reste dans la pudeur et la reconnaissance du destin.

 

Comme un retour plein de miséricorde, où la solidarité humaine et la foi se rejoignent pour accompagner le dernier voyage avec amour.